Zoom sur… Wild Shrimp Crew

Zoom sur… Wild Shrimp Crew

24 janvier 2019 Non Par FSSG

On choisit ses amis pas sa famille. Heureusement, comme dans toutes les familles, tout n’est jamais rose entre ses membres. Les rivalités sont communes et les engueulades fréquentes. Mais comme dans toutes les familles ses membres se serrent les coudes et s’entraident en cas de besoin. Divisés au quotidien, unis dans les épreuves.

Dans cette grande famille, le Wild Shrimp Crew c’est les cousins plein de bêtise, toujours prêt à rigoler quand quelqu’un tombe ou à piquer les clopes de mamie.

Même si cela ne se voit pas au premier abord, le respect de l’adversaire est au cœur de notre jeu. Faire plusieurs centaines de kilomètres pour vanner des équipes de la France dans l’attente d’être vanné en retour est un sport bien plus complexe que de taper dans une balle pour toucher une cible tout en se baladant. C’est cette attitude qui soude entre eux les membres du Wild Shrimp Crew. Qui a déjà joué avec nous sait que nous ne nous faisons aucun cadeau.

Adepte du second degré et d’alcool blanc voici une présentation en quelques mots de nos membres :

Qui es-tu ?
Antony Durand aka Toto :
Carrière pro de 2008 à 2015 sous l’emblème du Wild Shrimp Crew. Retraité je fais aujourd’hui les beaux jours de la section Tranchette du crew.

Golf ou Street Golf ?
Uniquement streetgolf, éventuellement Golf GTI.

Ton meilleur souvenir de streetgolf ?
« Je n’ai aucun souvenir de mes week-end streetgolf… Je regarde les photos le lundi… »

Le plus kiffant au streetgolf ?
C’est la communication que j’opère avec ma balle, je la respecte, je ressens sa douleur à la frappe, je vole avec elle… et je finis hors limite. 

Un hashtag ?
libertépourlescrevettes


Qui es-tu ?
Alexis Turi AKA Tutu
Inventeur de l’icestar, activiste plus que fainéant du street golf grenoblois depuis ces premières heures, j’ai démarré en 2008. A l’âge de 7 ans j’ai trouvé un fer 7 dans un parc avec mon frère, j’ai mis 18 ans à percuter que ce n’était pas un fusil ou une guitare, les choses n’ont plus jamais été les même après.

Golf ou Street Golf ?
Avant tout streetgolf mais un golf, quand c’est possible et gratuit, c’est toujours avec un grand plaisir.

Ton plus beau souvenir ?
Taper des balles du haut de la maison des langues sur le campus de Grenoble face à Belledonne ! Ou alors le Grenoble Morlaix, 1200 km, à 9 dans un poids lourd dont un chien en 30h j’hésite…

Le plus kiffant au streetgolf ?
L’absence de limite et la mauvaise foi.

Un#
Planctonclub#Onlysurvivormember


Qui es-tu ?
Arnaud Seller AKA la Hyéne :
Une petite crevette trop mignonne mais malgré tout très sauvage et tanqué ! Joueur depuis 1964.

Golf ou Street Golf ?
Streetgolf for ever

Ton meilleur souvenir de streetgolf ?
Le trou en un que j’ai tapé lors du Golfodrome en 199

Le plus kiffant au streetgolf ?
Faire des étincelles la nuit.

Un hastag ?
jecomprendrienaux#


Qui es-tu ?
Gerald Zaza AKA Zaza di Compton AKA le nouveau :
Je joue depuis 2012 mais j’ai commencé par le streetgolf en 1991.En effet, à l’âge de douze ans je m’amusais déjà avec un club et des balles dans les champs et les parcs ! True story

Golf ou Street Golf ?
Les deux mon capitaine

Ton meilleur souvenir de streetgolf ?
La victoire en 2015 à Londres ! Champion d’Europe

Le plus kiffant au streetgolf ?
Placer la balle où je veux avec un joli coup et jouer en dessous du par !

Un hashtag ?
#23 comme Micheal Jordan


Pour conclure nous dédicaçons l’ensemble de notre œuvre aux FLOG et particulièrement à Pierre-Yves Aka Papi Cailloux sans qui tout cela n’aurait eu aucun intérêt. Merci !

On est rarement tendre avec vous mais, c’est notre plus belle preuve d’amour, n’en doutez jamais ! On en profite aussi pour saluer bien bas nos copains les Los Golfos, le 19ème, la famille bretonne pour qui nous traversons la France avec un max de plaisir et pas toujours dans les meilleures conditions, les Strasbourgois chez qui Tutu n’a pu venir qu’une fois en 10 ans. Non mais quelle idées d’organiser une étape en pleine période des mariages, naissances et autres festivités familiales auxquelles on ne peut échapper sans se faire renier ou perdre sa femme.

Merci à toutes les personnes qui se donnent du mal pour faire avancer la cause et sur qui on prend un malin plaisir à s’acharner.

Merci à tous les nazes qu’on a croisé et avec qui ont tapé la balle et bu des coups. Longue vie à la fédé… enfin jusqu’à que…